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Un cinquième livre tout aussi captivant que les précédents.

Sur Énora, Alaric et son épouse Maria sont désormais roi et reine du Paristan et définitivement installés au palais de l’Halstrom. Maria y met au monde le deuxième fils du couple, Éoghann. Grâce à ses pouvoirs faés de précognition, Anna recommence à avoir des visions concernant les anciens Énoriens et leur cité perdue d’Arcania. Une expédition s’organise, soutenue par tous les souverains et par l’ordre de Radek, dont les sœurs travaillent à créer un réseau de relais télépathiques sur tout le continent. L’objectif est de découvrir cette cité qui semble se trouver dans les Terres glacées du nord…

Pour adultes et jeunes adultes

 

Note de l'auteure :

« À la recherche d’Arcania» est le cinquième des six livres du « Cycle d’Énora », après « Quatre années sur Énora 1 et 2 », « Le temps des réformes » et « Retour à Halstronar ». L’histoire se déroule sur Énora, planète peu peuplée et de faible niveau technologique, où cinq royaumes et un ordre de femmes guerrières, guérisseuses, visionnaires, télépathes... appelées les faées, se partagent le pouvoir.

Le précédent roman a vu l’arrivée au pouvoir du prince Alaric, devenu roi du Paristan alors qu’il pensait avoir encore de nombreuses années devant lui avant de devoir assumer cette lourde responsabilité. Heureusement, il a pour le soutenir son épouse Maria et surtout sa maitresse et conseillère, la faée Anna. Entretemps Anna et Alaric ont poursuivi leurs recherches sur le passé de la planète dans les archives. Par ailleurs les maisons de guérison faées se sont multipliées sur Énora et les sœurs travaillent à créer un réseau de relais télépathiques sur tout le continent.

Quand Anna recommence à avoir des visions concernant les anciens Énoriens et leur cité nommée Arcania, tous les souverains et l’ordre faé de Radek acceptent de soutenir l’organisation d’une expédition dans les Terres glacées du nord à la recherche de la cité perdue de leurs ancêtres.

Roman

 

Avis de lecteurs et lectrices :

Ça y est, j’ai enfin pris le temps de lire le tome 5 aujourd’hui. Il donne envie de savoir ce qui va se passer ensuite... J’espère que dans le futur tome, Maria sera plus présente. J’aime beaucoup son personnage et j’aimerais la voir passer en premier plan de temps en temps.

J'ai fini le dernier bouquin sur Énora.... et bien sûr mon mari et moi attendons la suite, car vous nous laissez vraiment dans le suspens avec la dernière phrase : « Ils arrivent ! »

J’ai pu écouter ton entretien sur Radio Alpes Mancelles : j’ai particulièrement été intéressé par tout ce que tu racontes sur la façon dont tu as construit ton cycle (structuration spatiale et temporelle, filiation des principaux personnages, type de société, pouvoirs des faées, etc.) et je dois dire que ce travail de préparation donne une belle solidité à l’ensemble.

Je souhaite bien sûr acheter votre dernier livre, le 6ème du « Cycle d’Énora » pour que mon fils ait toute la collection et que nous ayons connaissance de la fin de l’histoire que nous attendons. Continuez à écrire pour alimenter vos lecteurs qui attendent d’autres aventures, d'autres écrits pour se changer les idées, et encore plus en ces moments compliqués. Bien amicalement.

Une fois qu'on a le nez dedans, on n'en sort plus.

Et voilà : “ils arrivent”!... J’ai terminé « À la recherche d’Arcania » depuis quelques jours. Là encore, Catherine, je dois dire que j’ai été séduit par ton art de raconter : on ne part pas pour Arcania comme ça. Je ne parle pas des obstacles (toute quête y est confrontée) mais des évènements qui n’ont pas à voir avec l’action et auxquels on ne saurait pourtant échapper (en particulier le mariage de ce coquin de Mahédine) : ils suspendent l’action attendue et sont pourtant importants pour la connaissance d’Énora et plus encore pour l’image de l’humanité que tu nous proposes...

Je passerai sur la progression des personnages et sur leurs découvertes : à mon sens, cela semble presque trop facile; mais je dois reconnaitre que tu as préparé de longue date cette facilité par l’intérêt d’Anna pour les langues anciennement parlées sur Énora (sans parler de Volesvre dont la fin est étonnante de sérénité mais qui est plus intéressant encore par le fait qu'il est le personnage sans lequel la connaissance du passé serait impossible)... Au-delà, il me semble qu’il y a dans certains des noms que tu donnes aux personnages et aux lieux des échos à ce que nous connaissons (à mon sens, ça commence avec Anna, ou plutôt Johanna, mais je vois aussi le mot “arcane” dans Arcania... par exemple).

Enfin, j’ai été intéressé par le lien qui unit Alaric à Anna (c’est un phénomène que tu amplifies mais dont j’ai déjà entendu parler pour les humains que nous sommes) et aussi par cette “voix de commandement” dont tu parles pour Maria (je connaissais déjà, mais je ne sais plus d’où, du moins littérairement).

Dans le train Carcassonne-Bordeaux avec le cycle d'Énora livre 5 de Catherine Lamour. Je suis bien.

 

 

 

À la recherche d'Arcania, le cycle d'Énora livre 5

5,99 €Prix
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