Les origines du peuplement de la planète Énora
Présentation :
Sur la lointaine planète Énora, la chute d’un astéroïde a détruit Arcania, la cité construite par les colons impériaux ainsi que leur astronef. Le cataclysme a fait basculer l’axe de rotation de la planète et tué la majorité des adultes. Les rescapés sont peu nombreux, ils ont perdu tout contact avec l’empire galactique et ses technologies et suite au choc les glaces envahissent les ruines. Chassés par le froid, ils migrent vers le sud pour trouver des terres plus accueillantes où s’installer. Ils construisent des villages et tentent de s’adapter à ce nouveau monde qui est désormais le leur et qu’ils espèrent peupler de leur descendance.
Le vieux colporteur Mériadec le plus âgé des survivants qui voyage de village en village fait le lien entre les communautés et les fait profiter de ses connaissances et de sa sagesse. Ils peuvent aussi compter sur les pouvoirs parapsychologiques de certains, et surtout certaines, d’entre eux. Mais les nouvelles conditions de vie modifient progressivement les relations entre les sexes et une répartition inégale des rôles se met insidieusement en place.
Dans le village de Caïnar, cela provoque des conflits entre Halim, jeune homme autoritaire et misogyne, Niza, la cheffe du village, sa fille Amara, adolescente déterminée et sportive et Nihal, jeune homme doté de pouvoirs guérisseurs.
Ce roman se déroule trente-sept ans après l’arrivée des premiers colons impériaux sur Énora, environ sept-cent ans avant le Cycle d’Énora et une soixantaine d’années avant l’époque de la domination des seigneurs-guerriers (et les deux romans : Les pérégrinations de la faée Anaïka et Au temps des seigneurs-guerriers). 
Il fait partie des Histoires d’Énora qui se lisent indépendamment les unes des autres.
À partir de 14 ans.
 
Avis de lectrices et de lecteurs :
● Ce roman m'a replongée dans l'ambiance des histoires de robinsons devant se débrouiller sur une ile déserte que j'adorais dans mon adolescence.
● Les autres livres de cette auteure m'avaient habitué à plus d'action, ici elle arrive assez tard dans le roman. 
●  Je l'ai commencé et j'aime beaucoup le début...
●  J’ai terminé de lire la Sagesse de Mériadec. J’ai pris grand plaisir à me plonger au temps des origines de la planète Énora. Le lexique était effectivement très bienvenu pour s’y retrouver entre les différents personnages et identifier la faune et la flore locales. Belle trouvailles lexicales au passage ! Par le prisme médiévo-fantastique, tu abordes des thèmes qui font résonance avec notre époque bien tourmentée, comme le masculinisme inhérent à la montée des autoritarismes, oui ça fait beaucoup de suffixes en isme, et le fossé des générations. Merci pour cette lecture !
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