Le quatrième livre d'une saga de fantasy romantique captivante et aux personnages attachants.
Sur la lointaine planète Énora, la faée Anna, le prince héritier du Paristan Alaric, et son épouse Maria, coulent des jours heureux dans la citadelle de Farstaff, entourés et leurs amis et de leurs jeunes enfants. Les relations entre Alaric et Erwan, le père des enfants d'Anna, semblent apaisées, les réformes engagées sont un succès et les faées guerrières et guérisseuses se mêlent de plus en plus à la population énorienne.
Mais quelle est cette angoissante prémonition qui pousse Anna à leur faire quitter les collines pour revenir à Halstronar, la capitale du Paristan ? Est-ce en rapport avec la bordelière Zulma qui a quitté Farstaff pour la grande cité ? Avec le mystérieux passé de la planète ? Ou s’agit-il du roi Séniar, le sévère père d'Alaric, une force de la nature qui dirige le pays d'une main de fer et reproche toujours à son fils cadet la mort de son épouse adorée ?
Pour adultes et jeunes adultes
 
Note de l'auteure :
« Retour à Halstronar » est le quatrième livre du « Cycle d’Énora », après « Quatre années sur Énora 1 et 2 » et « Le temps des réformes ». L’histoire se déroule sur la lointaine planète Énora, peu peuplée et de faible niveau technologique, où cinq royaumes et un ordre de femmes appelées les faées se partagent le pouvoir. Les faées sont guerrières, guérisseuses, visionnaires, télépathes, et dotées de divers autres pouvoirs parapsychiques. Dans les livres précédents, elles ont accepté de quitter leur isolement pour fonder des maisons de guérison sur le continent énorien. Le prince Alaric, qui n’était à l’origine que le fils cadet du roi du Paristan est devenu le seul héritier du trône, mais il vit toujours dans la citadelle de Farstaff, à la frontière du royaume, avec son épouse Maria et leur fils Abram. Sa maitresse, la faée Anna, vit également à Farstaff avec deux des enfants qu’elle a eus du comte Erwan de Bahrène. Tous aspirent à une existence paisible. Mais une prémonition d’Anna va les faire revenir à Halstronar, la capitale du Paristan, où règne le roi Séniar, le rude père d’Alaric.
Anna va y continuer ses recherches avec l'archiviste Volesvre sur le passé de la planète. Vous pourrez poursuivre l'aventure avec eux dans le livre 5 : « À la recherche d'Arcania ».
Roman
 
Avis de lecteurs et lectrices :
● J'ai lu le tome 4 d'une traite, très très bien, l'histoire s'étoffe, il y a beaucoup de rebondissements, de nouvelles destinés se dessinent, bref j'ai adoré.
● Catherine tu vas devoir te remettre à l’écriture, mon épouse à déjà avalé tes quatre bouquins.
● Mes enfants m'ont enfin offert quatre de vos livres à Noël et j'ai déjà tout lu ! J'adore.
● J’ai lu les quatre premiers tomes du « Cycle d’Énora ». Actuellement je relis « Les enfants de la terre ». Je ne sais pas si vous connaissez, mais la saga d’Énora m’a fait penser à ces livres que j’aime beaucoup par certains côtés.
●  Mon fils a lu avec plaisir quatre de vos romans. Moi, également. J’entame le quatrième.
●  J’avais bien des lectures en train (ça n’arrête jamais en fait)...  Mais j’y suis arrivé : j’ai commencé hier soir... et fini ce matin !... Avec cette même avidité de vouloir connaitre la suite (toujours cet horizon d’attente que tu ménages si bien : voir plus loin)...
Mais au delà de l’histoire (prenante en effet), j’ai apprécié ta façon de dessiner de façon plus affirmée qu’avant un “art de gouverner” et “de se gouverner” où l’attention à autrui n’est pas faiblesse (on y peut même faire preuve de la plus grande rigueur)... Et puis, il y a cette mise en scène des limites que peuvent avoir les plus forts (à deux reprises pour Anna), cette réflexion sur le destin qui m’a beaucoup touché (au moment du décès de Séniar) et cette analyse de la notion de paternité (qui rejoint en partie celle qu’avaient les Romains)...
● J’ai retrouvé à la fin ce que j’avais déjà repéré dans le livre 3 sur l’origine du peuplement d’Énora... mais je me suis quand même fait avoir car j’attendais que Mahédine reçoive une dernière leçon (ou autre complication le concernant)... Bravo !
● Me tarde de me replonger dans l’univers fantastique d'Anna.